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One Shot Rupru Fluff, sous-entendu de GerIta, datant de 2013 - R16

A la base écrit à quatre heure du matin pour une amie qui n'avait pas le morale, et posté parce que l'on manque cruellement de RuPru dans le fandom Français.

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Gilbert s'ébouriffa, puis se recoiffa, s'ébouriffa à nouveau, puis se recoiffa et recommença son petit manège pendant dix bonnes minutes avant de finir avec la même coiffure que d'habitude et non une de celles des "grandes réceptions" comme il aimerait les appeler. De toute façon, il n'avait pas besoin de ça pour être au top de sa classe, il était le grand Prusse ! Il n'avait besoin d'absolument rien de plus que lui-même pour être classe !
l'albinos sourit devant le miroir qui lui faisait face avant de prendre une pause pleine d'assurance en parlant pour lui-même.

- Gilbert mon vieux, tu es toujours le plus génial d'entre tous !

Sur ce, il quitta la salle de bains avec un air satisfait avant d'attraper son sac à dos qui traînait au sol et de le jeter sur son épaule. Il lança un "Je sors ! Ne m'attends pas ce soir et n'en profite pas pour faire trop de bêtises avec Féli' West! " À son frère suivit d'un " OI! Bruder! Qu'est-ce que tu racontes ?" Gêné de la part du blond qui n'eut même pas le temps d'en dire plus que son ainé était déjà parti en claquant la porte derrière lui, celui-ci rias, fière de l'embarras dans lequel il avait mis son cher petit frère, mais d'un autre côté depuis que Ludwig avait réussi à s'ouvrir et conclure avec l'italien du nord, il ne pouvait s'empêcher de les taquiner.

L'albinos marcha tranquillement dans la rue en sifflant l'air d'un de ses morceaux favoris de Rammstein quand la pensée du temps qu'il avait mis à tous préparer pour se rendre chez ce sataner russkof lui passa par la tête, puis la réponse lui revient vite en mémoire : c'est vrai qu'il l'aimait. Il était dingue de lui, même s'il faisait tout pour ne pas le montrer et accessoirement le provoquer et avait mis du temps à s'en rendre compte... Beaucoup de temps... Beaucoup TROP de temps même, et tout ça l'agaçait, leurs relations aussi l'agacer, elle était tellement compliquée et... Ambiguë ? Oui, C'était bien le mot pour la décrire : Ambiguë. C'était trop demandé d'effacer toutes ces prises de tête ? Que l'autre arrête de jouer avec ces nerfs ? Oui ? Et que personne ne lui dise ", C'est ça l'amour Gilbert ! " Parce que celui qui lui dira ça se prendra son génial poing dans la figure, même si c'était l'un de ses meilleurs potes, car si c'était le cas : " L'amour ça craint. " Et on pouvait lui dire que c'était le raisonnement d'un adolescent immature, il n'en avait strictement rien à faire.

Maintenant, il ne pensait qu'à une chose, se rendre chez Ivan. Même s'il n'était pas invité et que le russe n'était pas spécialement de bonne humeur en ce moment. C'était justement pour ça que Gilbert avait décidé de venir ! Pour jouer les habituels casse-pieds !
Arrivé devant la grande porte, il frappa de ces trois coups habituels, il ni eut n'aucune réponse alors il frappa de nouveau, mais plus fort et en beaucoup plus de fois. Au bout d'un petit moment, Ivan finit par lui ouvrir, visiblement surpris de le voir ici.

- Et Bah ce n'est pas trop tôt ! Hallo Braginski!

La porte étant ouverte l'albinos ne se fit pas prier pour rentrer sans même avoir demandé s'il pouvait et se dirigea vers le salon en sifflant un nouvel air suivi par son "hôte" qui devait bien se demander la raison de sa venue tendit qu'il se vautrait dans les canapés en écoutant ce que l'autre allait lui dire d'une oreille distraite.

- Beilschmidt? Que me vaut l'honneur de ta visite ? Tu es plus du genre à fuir ma maison que d'y rentrer sans autorisation...

- Dhahaha, très drôle ! Je n'ai besoin de l'autorisation de personne et je ne fuis jamais, tu te fais des idées. Je suis venue t'apporter un cadeau !

Au mot "cadeau" le russe haussa les sourcils avant de faire la moue, ce qui ne fit qu'agrandir le sourire de l'albinos.

- C'est encore une de tes blagues ?

- Je suis sérieux ! Tu n'as qu'à jeter un coup d'œil par toi-même !

Les deux orbes violets le fixèrent un instant, comme pour savoir s'il mentait ou non, puis elles se dirigèrent vers le sac à dos. Gilbert, qui était fier de l'avoir fait tomber dans son piège ne pût s'empêcher de ricaner en le voyant attrapé son sac mais fit un peu moins le malin quand le grand bruit d'une fermeture éclair ouverte un peu trop brutalement se fit entendre.

- OI! Ce n'est pas la peine de le réduire en petits morceaux non plus !

Il n'y eut pas de réponse immédiate, de toute évidence, il ne l'écoutait pas, l'autre se contenter de fixer l'intérieur, mais petit à petit, une aura malsaine violette se mit à l'entourer, une aura que l'albinos ne connaissait que trop bien maintenant et n'était vraiment pas bon signe. Il avait dû se rendre compte qu'hormis deux ou trois de ces affaires personnelles, il n'y avait rien à l'intérieur. Leurs regards se croisèrent accompagnés par des "kolkolkol" et un frisson passa dans le bas de son dos, non, le grand Prusse n'avait pas peur, il était juste surpris qu'une taquinerie aussi simple le mette autant en colère.

- Je le savais, tu te moques de moi.

- Nein! Nein! Tu n'y es pas, je ne l'ai pas rangé dans mon sac, je suis un génie pour cacher les choses !

Contre toute attente, le regard du blond ne s'assombrit pas, au contraire, plus de "kolkolkol" plus d'auras malsaine ni de sourire à la fois adorable et malsain tout avait disparu aussi vite que c'était venus, remplacer par son visage innocent habituel. Intriguer, Gilbert s'arrêta net et l'observa avant de suivre son regard jusqu'au ruban qu'il avait de nouer autour de son poignet, un "Scheiße!" Lui échappa, s'il l'avait remarqué aussi vite ça casser tout le plan qu'il avait en tête et ce n'était vraiment pas génial.

- Fufufu, je ne savais pas que tu avais de genre de penchant féminin Gil ~

- Que... WAS? Absolument pas ! Et puis qu'est-ce que ça veut dire ?! Je ne suis pas le Polonais ! J' étais juste en train de flâner dans les boutiques a la recherche d'un cadeau digne de moi quand j'ai fini par avoir une idée encore plus géniale et....

Soudain, arrêté dans son élan, il se sentit soulever et finit par être porté comme un sac à patates sur l'épaule de l'autre, il eut quelques secondes de calme avant de se débattre dans tous les sens sans qu'il n'y est aucune réaction en face.

- Da, J'ai compris.

- Comment ça, tu as compris ? Tu n'as rien compris du tout ! Laisse ma génialissime personne finir d'abord ! Et repose-moi tout de suite ! Repose-moi, j'ai dit ! Où est-ce que tu n'emmènes !? Oi! Tu m'écoutes à la fin ?

- Nièt

- Mais tu te fiche de moi ce n'est pas possible!

Pas de réponse, il continua son monologue en l'insultant parce qu'il voulait redescendre, n'aimant pas le fait d'être ignoré comme ça, et encore moins de ne pas savoir où il l'emmenait, mais il finit vite par le découvrir quand il fit reposer sur ... Un lit. Il reconnut vite le lit d'Ivan et sa chambre et sentit le rouge lui monter peu à peu aux joues, grommelant face à la nation russe qui semblait bien amusée par la situation.

- Pervers !

- Moi ? Non. C'est toi qui viens t'offrir à moi comme ça, mon "génial cadeau".

Le rouge lui monta encore plus aux joues, flatté pour une fois. Tendit qu'Ivan le rejoignait sur le lit.

- Heureux d'apprendre que tu reconnais ENFIN que je suis génial !

Il n'eut pas le temps de se vanter davantage que des lèvres vinrent rencontrer les siennes, cela ne duras que quelques instants mais ça suffit à faire bugger le Prussien pour le plus grand plaisir d'Ivan qui le regarda avec son air complètement innocent, tellement innocent, que le Prussien ne pouvait s'empêcher de craquer.

- À quoi tu joues encore ?!

- Fufufu. Mais rien du tout.

Ils s'embrassèrent une nouvelle fois, plus longuement en se collant l'un contre l'autre. Gilbert sentit doucement la main du blond se glisser sous son sweat, et se retint de justesse d'ouvrir la bouche pour protester au moment où une langue lui caressa les lèvres pour demander l'entrée. Bien sûr, l'albinos résista, comme il avait résisté les fois précédentes, après tout, il était le génial Prusse ! Trop génial pour être soumis. Ce qui ne déplaisait pas à Ivan qui adorer le fait qu'il lui résiste avant qu'il ne le fasse craquer petit à petit...

*****

Un peu plus tard, à la maison des deux Germaniques, l'allemand qui regarder un film avec Feliciano, se demandait pensif et légèrement inquiet pourquoi son frère mettait autant de temps à rentrer chez eux. Mais finalement, en voyant la bouille adorable et les yeux de chiens battus de l'italien, il finit par se rappeler que ce n'était pas la première fois qu'il lui faisait le coup et que de toute manière en connaissant son frère, il réussirait à ce sortir de la pire des galères... Il n'y avait donc pas de quoi s'inquiéter.
Grand Duc
Jeu 2 Fév - 16:40
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